La longue histoire d’amour d’Omega et des Jeux Olympiques

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L’été 2016 sera sportif ou ne sera pas. Après Rolland Garros, alors que l’Euro 2016 bat son plein et que le Tour de France se profile à l’horizon, les Jeux Olympiques 2016 de Rio vont concentrer l’attention du monde entier. La plus grande compétition du monde se réunit tous les 4 ans et ce sera cette année de l’autre côté de l’océan Atlantique, dans ce Brésil synonyme de Samba et de Caïpirinha. Le chronométreur officiel des jeux sera présent et veillera sur le bon déroulement des courses. Omega garantira l’extrême fiabilité des records enregistrés avec ses appareils de précisions. Sous peine de vindicte populaire. Mais voilà toutes les conditions sont réunies pour ne pas avoir à nous inquiéter.

Oméga et les records !

Omega est associé aux Jeux Olympiques depuis 1932 et fut la première compagnie horlogère à assurer l’équipement de l’intégralité des épreuves. Athlétisme, natation, jeu de paume, marelle, toutes les épreuves étaient prises en charge par Omega (quoique je ne sois pas sûr pour le jeu de paume et la marelle). La précision à l’époque était de l’ordre du dixième de seconde et les jeux de Los Angeles purent certifier pas moins de 17 nouveaux records grâce à l’horloger suisse. Suivirent les Jeux Olympiques de Londres de 1948 avec l’apport de la technologie révolutionnaire Magic Eye et les Jeux Olympiques de Rome en 1960 à la suite desquels Omega développa les premières plaques de touche automatiques afin de départager les athlètes. La controverse du 100m nage libre fit naitre assez de tourments pour mettre fin à toute espèce de contestation. Heureusement qu’Omega est là!

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Toujours plus d’innovation

Omega innova encore aux Jeux Olympiques de Mexico en 1968 avec le système Omega Photoprint. Car une image vaut toujours mieux que de longs discours. De quoi faire taire les contestations et entériner 10 records du monde à l’altitude propice aux records de la capitale du Mexique. Il fallut attendre 1984 et les Jeux Olympiques de Los Angeles pour voir apparaitre une nouvelle innovation marquante, celle permettant de détecter les faux départs avec le calcul du temps de réaction autorisé à hauteur de 0,100 seconde. De quoi ratifier les 4 médailles d’or records de Carl Lewis. Depuis 2012, le chronométrage est entré dans une ère futuriste avec des systèmes hautement perfectionnés. Le Système Swimming Show classe instantanément les 3 premiers d’une course de natation et le Quantum timer affiche une résolution optimisée à un millionième de seconde. C’est quasiment de la science fiction…

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Oméga à Rio

Chronométreur officiel des Jeux Olympiques à 26 reprises depuis 1932, Omega n’a cessé d’innover pour permettre aux athlètes de se concentrer uniquement sur leurs performances. Chaque faux départ est enregistré, chaque performance est certifiée, l’athlète n’a plus qu’à donner le meilleur de lui même pour une performance authentifiée pour l’éternité. Pour ça, Omega ne va pas lésiner sur le matos. 450 tonnes d’équipement, 250 kilomètres de câbles et de fibres d’optiques, 480 chronométreurs, du très lourd. Quant aux équipements, Omega innove encore à Rio. Plaques de touche placées aux extrémités de chaque ligne d’eau pour laisser les nageurs stopper eux-mêmes le chronomètre, caméra photo finish Scan’O’Vision Myria, starting blocks, détecteur de faux départ, systèmes vidéo à haute vitesse, rien ne sera laissé au hasard.

Omega se met au diapason des premiers jeux sud américains. Depuis la première édition des Jeux Olympiques d’Athènes en 1896, les chiffres n’ont cessé de s’envoler. Ce seront maintenant;
– 335 tableaux d’affichage spécifiques
– 850 bénévoles formés
– 79 tableaux d’affichage publics

La Seamaster Diver 300M « Rio 2016 »

omega Seamaster Diver 300M Rio 2016Pour célébrer l’évènement, Omega a créé la Seamaster Diver 300M « Rio 2016 » en édition limitée (3016 exemplaires). Mélange d’expertise horlogère et d’artisanat, la montre est inspirée par les fameuses plages de la ville. Le cadran noir laqué reproduit le motif ondoyant typique des mosaïques ornant les trottoirs de Copacabana. Les chiffres sont laqués de couleur rouge, verte, jaune et bleue et symbolisent l’exubérance de Rio avec en plus les anneaux olympiques. Le fond vissé du boitier est frappé du logo RIO 2016 et gravé du numéro de série limitée individuel. Autre montre créée pour l’occasion, la Seamaster Bullhead « Rio 2016 » rend hommage à la tradition sportive de la marque. Son bracelet en cuir bleu de la couleur du logo de Rio 2016 s’inscrit dans la tradition en rappelant un modèle de 1969 utilisé par les pilotes de rallye pour chronométrer leurs tours.

La Speedmaster Mark II « Rio 2016 »

Enfin, la Speedmaster Mark II « Rio 2016 » est la première montre Omega permettant d’utiliser l’échelle tachymétrique (vitesse de déplacement d’un objet en mouvement) dans l’obscurité. Le design rappelle les médailles décernées aux champions olympiques. Modèle également en édition limitée avec 2016 exemplaires fabriqués. De quoi s’enthousiasmer pour les Jeux Olympiques de Rio, pour les athlètes, pour leurs médailles et leurs performances. Omega sera là et s’assurera que la fête ne soit pas gâchée. De quoi pouvoir faire la fête sereinement, jusqu’au bout de la nuit. Samba di Janeiro!

omega La Speedmaster Mark II Rio 2016

Cliquez ici pour voir la Collection Olympique sur le site d’Omega.

 

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