Si vous aussi vous avez un minimum conscience de ce qu’il a pu se passer dans le monde du cinéma durant les 5 dernières années, vous n’aurez pas raté la trilogie aux 50 nuances. Ce léger virevoltage sensuel sur fond de violence contrôlée qui a fait chavirer des milliers de cœurs à chaque sortie ! Et si vous entriez dans la peau de Christian Grey pour la Saint-Valentin ? Pas possible me direz-vous ? Parlons-on ! Nous vous avons préparé cet article afin de décortiquer le sujet et de vous proposer une belle sélection de produits dans le thème ! Bonne lecture !
Aussi décriées qu’elles sont nombreuses, les femmes qui ont pris chaud dans leur fauteuil de cinéma le jour de chaque sortie ne l’avouent qu’une fois sur deux. Une sorte d’omerta d’un plaisir inavouable qui ferait de chacune d’entre-elles une fétichiste du martinet, en racontant trop long sur leurs désirs cachés pour espérer boire le thé sans qu’on ne les imagine en action. En vérité, il n’y a pas de raison d’en faire tout un plat ! Les puritains se diront sans doute que même si l’autre le souhaitait, s’adonner à ce genre de pratique c’est franchir un cap, aller trop loin dans la relation, oubliant au passage ce qui fait les bases d’un couple uni, la tendresse, la passion et surtout le respect. Les trois ingrédient magiques qui conduisent à coup sûr à la routine, pour peu qu’on les traduise mal ! Un dialecte d’initié pour lequel avoir l’esprit ouvert est la base d’une compréhension des plus sensuelles.
Le chemin pour y accéder
Nombreuses sont les voies du 7ème ciel et nous n’allons aujourd’hui vous en dresser qu’un seul itinéraire. Un parcours initiatique qu’il faudra cheminer étape par étape pour arriver au nirvana. Plus que du simple plaisir par la douleur, c’est beaucoup plus profond que cela. L’idée, c’est avant tout d’aller chercher le plaisir libéré. Cet état de béatitude où l’on peut dire et entendre ce que l’on veut, faire ou subir ce que l’on désire, puisque l’on sait tous deux que cela n’est que pour le plaisir de l’autre. Dans une recherche quotidienne du bonheur de sa dulcinée, un gentleman moderne se doit donc d’être en perpétuelle exploration de ce qui casse les codes. Qui n’a jamais rêvé de liens attachés aux quatre coins du lit ? De menottes et d’un bandeau qui traineraient sous un coussin pour apparaître par surprise au cour de la soirée ? Et si je vous disais que nombreuses sont les filles qui en rêvent aussi ! Bien sûr il ne s’agit pas d’arriver avec ses grands sabots, poussant tout sur son passage dés le premier soir ! Il faut avant tout en parler, soupeser les susceptibilités de chacun et chercher à comprendre en quelques mots ou quelques gestes ce qui pourrait plaire à l’autre. Un jeu d’enquête qui n’est que l’un des prémices du plaisir. Des préliminaires obligatoires car rien ne doit être imposé pour que cela vous mène où vous souhaitez aller. Et si l’on pense souvent qu’une femme soumise se laisse faire, ce n’est en réalité que par sa soumission qu’elle contrôle le plaisir de l’homme. C’est donc bien elle qui tient le gouvernail et rien n’y changera. Tout commence donc par le dialogue comme on l’a dit juste avant, viennent ensuite les prémices, les premiers gestes brusques mais contrôlés, toujours accompagnés de douceurs pour rassurer l’autre. Et petit à petit les choses s’envenimeront d’elles-même si elles doivent le faire, au hasard des contextes et des envies, des paroles et des désirs. Un jeu des corps ainsi que des mots sans lesquels, aucun plaisir sincère et partagé ne serait possible. Chacun voit ensuite s’il souhaite aller plus loin ou non. On peut bien sûr se contenter d’une écharpe nouée autour des poignets et d’une écharpe sur les yeux au retour d’une soirée très branchée comme mais l’on peut également aller plus loin. Faire de ses désirs les plus enfouis des réalités, allant chercher la douleur étape par étape à l’aide d’accessoires sans aucune équivoque possible. Cela commence par les menottes, par les liens, les bandeaux pour les yeux et peut continuer avec une cravache, un petit fouet ou plus encore… À chacun de voir où se trouve la frontière entre douleur et plaisir !
Les instruments du plaisir
Mais alors par où commencer me direz-vous ? Difficile de dire où s’arrête le classicisme et où commence la luxure. Quoiqu’il en soit, je pense que les liens sont une première étape à ne pas négliger. Cette sorte de servitude volontaire qui occupe bon nombre de fantasmes, poussant chacun à imaginer l’autre à sa merci, objet de désir ne répondant qu’au bon vouloir de son partenaire et de ses désirs. Viennent ensuite les jouets de plaisir pur, aux formes suggestives, adaptés chacun à un plaisir distinct des autres, pour peu que l’on connaisse un peu le corps de l’autre. Enfin, viennent les objets de châtiment, symboles de douleur comme de plaisir pour qui a pris le temps de découvrir cet univers. On vous a préparé une sélection inspirée du film sur le site de Dorcelstore qui pourrait vous accompagner dans vos rites initiatiques. N’hésitez pas à y aller par étape, petit pas par petit pas, jusqu’à trouver la dose de piment qui vous convient le mieux à tous les deux. Assurément une aventure à vivre, si tenté que l’on trouve la personne qui souhaite nous y accompagner ! Comme promis plus haut dans cet article, voici la sélection de produits tant attendue afin de contenter et ravir les amateurs de pratiques softs, les novices et les foudingues de cette façon de se faire plaisir ! Bienvenue dans la pièce secrète de Christian Grey !
La cravate de Christian Grey
On commence par un symbole du film que tous les amateurs connaissent bien ! La cravate de Christian Grey ! Pour attacher, bander les yeux, la bouche, lier les mains et tout ce que vous pouvez imaginer. Laissez-vous aller à votre imagination !
La cravache
Symbole de domination de l’animal par l’homme, il est vrai que la cravache peut faire peur au prime abord. Cependant, elle peut être utilisée par madame comme par monsieur, en échangeant les rôles pour être sûr de ne pas faire d’impaires. À utiliser de manière douce comme brutale, elle permet de vraiment localiser les coups pour être sûr de ne pas blesser l’autre.
Le kit découverte
Ce genre de kit pour s’attacher au lit pourrait être un bon début dans ce type d’exercice. De quoi découvrir de façon ludique, glamour et tendre le monde du lien et de la menotte.
Le fouet
On monte en gamme d’un point de vue sensations en donnant un petit coup de fouet à sa libido ! Une belle façon de faire rentrer le cuir dans son lit !
L’attache porte
Grand classique des connaisseurs, l’attache-porte fait partie de ces accessoires qui permettent d’aller plus loin dans la domination sans forcément passer par la douleur. Par un système très simple, il permet d’attacher les mains de votre partenaire à des menottes fixées en haut d’une porte fermée. Impossible pour l’autre de s’échapper, restant là, à votre merci et à celle de toutes vos envies.
Le Ballgag
Bien connu des amateurs de bondage, de domination et de cinéma, le ballgag est cette balle sanglée que l’on vient glisser dans la bouche de sa partenaire pour la faire taire ! Un accessoire réglable pour plus de confort !
Entre douleur et plaisir
Entre douleur et plaisir se jouent chaque nuit des comédies bien écrites. Des sortes de pièces de théâtre à deux acteurs dont le rôle principal n’est celui que l’on imagine que dans les mauvais scripts. En réalité qui tient les rennes ? Et si chacun ne recherchait que le plaisir de l’autre en utilisant des moyens détournés, loin des méthodes conventionnelles ? N’est-ce pas justement là le concept même de faire l’amour ? La recherche d’un plaisir personnel à travers la connexion charnelle avec l’autre et la vision du plaisir que l’on arrive à lui procurer. Cette quête du feu d’artifice réciproque qui se transforme en tremblement de terre pour peu qu’il soit simultané. Des baisers, de la tendresse, de l’écoute, en théorie tout cela pourrait suffire pour attraper les rideaux à pleines mains pendant des heures, mais il faut parfois chercher ailleurs que ce que l’on connaît déjà. Une exploration lente et tranquille du plaisir par la douleur qui pourrait bien vous mener à arracher les rideaux pour de bon.En effet, la frontière entre plaisir est douleur est assez ténue, pour peu que l’on y accède doucement les premières fois, sans brusquer personne et surtout sans jamais faire peur à l’autre. Une initiation si l’on peut dire qui pourrait ensuite transformer les petites douleurs en tressaillements, les tressaillements en frissons, et les frissons en plaisir. Une quête à la recherche des endorphines, les hormones du plaisir qui, agissant sur le cerveau, transforment la douleur en relaxation. Allons encore un peu plus loin si vous le voulez bien, il y a trop de choses à dire pour s’arrêter en si bon chemin !