Critique de JOYLAND de Stephen King

Joyland-Stephen-King

Comme moi, vous attendiez sans doute ce bouquin de King. Après Docteur Sleep je dois le dire je maudissais chaque chose qui m’empêchait de me plonger dans le bouquin, bon pas de bol, j’étais particulièrement débordée en particulier à cause de mon déménagement. Pour vous dire j’avais tellement envie de le lire ce livre que je l’ai trimballé dans mon sac à main pour être sûre de pas le perdre dans le déménagement. Au final, quand j’ai enfin réussi à me cacher entre deux cartons pour l’ouvrir, bah… Bof…

 

Voilà l’histoire. Un jeune homme, qui est à l’Université, se cherche un boulot d’été franchement pas motivé pour faire la plonge à la cafet’ qu’il se tape déjà toute l’année pour se payer ses études. Il est amoureux d’une fille un peu étrange qui, soyons honnête, le balade à mort entre tripotage et douche froide. Bref, il fini par tomber sur une annonce pour un job dans une fête foraine : Joyland. Ce truc ce n’est pas vraiment une fête foraine, plus un parc d’attraction mais en version locale avec des attractions mais pas aussi balaise que les grands parcs dont on a l’habitude. Il réussi à se faire embaucher et rencontre sur place une fille et un garçon qui vont devenir ses amis pour la vie ( bah oui on le sait parce la version âgée du jeune homme intervient dans le bouquin). Une fois dans le parc, il apprend qu’un meurtre a été commit dans l’attraction la plus terrifiante et il paraîtrait même que le fantôme de la fille tuée est toujours dans le manège. Deux autres personnages importants, un petit garçon lourdement malade et sa mère qu’il ne croise que sur la plage en allant travailler sans oser leur parler au départ.

 

Voilà le topic, comme toujours ne comptez pas sur moi pour vous dévoiler la fin mais voici mes impressions. Je suis déçue. Bah oui, c’est moche de dire ça d’un King mais franchement Pfff… J’ai vraiment ramé pour me plonger dans le bouquin, on a l’impression que l’histoire n’avance pas. Les personnages sont géniaux c’est clair, le boulot réalisé pour tout le langage forain est impressionnant mais bon on aimerait bien que tout ce petit monde se bouge les fesses. L’enquête devrait être au cœur du livre et pourtant il ne se passe presque rien. J’avoue que ne suis rarement fan des bouquins où tout se passe dans la tête des personnages mais là franchement… C’est vraiment exagéré. C’est un gros livre en plus alors lire des pages et des pages en attendant qu’il se passe un truc c’est un peu lourd. En gros c’est vraiment à la fin que tout se fait, et encore, j’ai presque envie de dire que tout est trop simple. Bref, je vous conseille de le lire pour vous faire une idée mais je ne garde pas un super souvenir de ce bouquin. J’attends le prochain pour me réconcilier avec Stephen King qui, ne l’oublions pas, reste le maître absolu de ce type de littérature.

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