Critique de Le Sixième Sommeil de Bernard Werber

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Le voilà enfin ! Le dernier Werber qui s’intitule Le sixième sommeil, je sentais encore une petite merveille et je ne suis pas déçue, loin de là.
Pas besoin de vous présenter l’auteur, il est plus que connu et on parle souvent de lui ici, parce qu’il le mérite. Avec ce nouveau livre, Bernard Werber nous lance dans une nouvelle histoire, celle de la famille Klein et en particulier de Jacques et sa mère Caroline. On suit Jacques pour ainsi dire toute sa vie, du moins on assiste à des périodes de sa vie et si c’est une manière de nous attacher à lui et bien ça marche, il devient presque un ami et on se sent très vite concerné par ce qui lui arrive.

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Critique : Le Sixième Sommeil de Bernard Werber

 

Caroline Klein est un médecin-chercheur qui travaille sur le sommeil, les cycles du sommeil plus précisément, elle a un projet secret qui devrait révolutionner la vie de tous les humains. Son fils Jacques a à cette époque 27 ans et fait des études de médecine, un peu paumé, sa vie n’est pas vraiment stable mais c’est de son âge comme on dit. Mais voilà un évènement bouleverse tout et tout cela est lié au sommeil et au grand projet de Caroline.

 

La livre est très bien fait, on fait connaissance avec les personnages à des âges adultes et plus tard, on remonte dans leur passé pour tenter de mieux les cerner. Les transitions sont très bien faites, les bonds dans le temps ne choquent pas du tout. Comme toujours le style de Bernard Werber est très fluide, le livre se lit d’une traite si on a le temps.

Mise en page 1Autre point très important selon moi, comme toujours l’auteur nous fait le plaisir non seulement de nous raconter une histoire très originale, mais en plus nous apprend plein de trucs. Bah oui avec Werber on se couche moins bête, même si dans le cas de ce livre je me suis couchée interloquée la plupart du temps.
Le sommeil c’est un sujet qui n’est pas facile pour la simple et bonne raison qu’on en a tous un différent et pourtant l’auteur parvient à intéresser tout le monde. Je peux vous dire que j’en ai appris des trucs, certains secrets du sommeil sont déjà plus ou moins connus mais là, attention grosse décharge !

Le livre est vraiment bon, l’histoire est inédite, originale et personnellement j‘ai naturellement réalisé un rapprochement avec Les Thanatonautes, ( je croise les doigts pour qu’une série suive encore ce livre). C’est du grand Werber, avec des personnages qui ont du relief, du mystère, des surprises et surtout des infos qui sont de vraies infos. Depuis que j’ai commencé le bouquin j’ai une furieuse envie de surveiller mes cycles de sommeil et de travailler pour apprendre à dormir mieux. Je pense que c’est la preuve que c’est un très bon livre.

Comme d’habitude je garde la fin pour moi mais franchement, c’est génial et ça augure du bon pour la suite, enfin j’espère… S’il vous plaît Monsieur Werber !! Une suite !!! Bref une fois de plus je vous recommande le dernier Werber et je suppose que ça n’étonnera personne, surtout pas le rédac’chef 😉

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1 COMMENTAIRE

  1. Bonjour,
    Je suis surpris que vous ne signaliez pas un grand nombre d’incoherence. Le livre me semble presque ecrit a la hate sans chercher a donner de la vraisemblance a l’histoire… enfin je ne suis pas encore arrivé a la fin, peut etre que les incoherences s’explique.

    – Les phases d’endormissements sont systématiquement éludé. Comme s’il suffisait de s’asseoir au chevet de quelqu’un et cinq minute aprés on peut lui parler pendant qu’il reve…
    – les phases de deuil des personnages sont quasi absente du récit.
    – le personnage principal est medecin. Il y a des « batails », des morts mais pas de mention d’eventuel blaissé pour lesquels sont intervention est inévitable…

    C’est sympa de nous apprendre des choses au détour du récit. Mais dans ce livre c’est plutot le récit qui suit le chemin de ce qu’il y a a apprendre. Par exemple dans le texte la reproduction des dauphins occupe beaucoup plus de place que le choix d’une épouse… dans l’histoire l’inverse apporterait peut etre plus au récit.

    Fan de cet auteur je suis là trés décu,

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